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mardi 30 avril 2013

Z comme ... Zen

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A priori, on peut dire que zen et généalogie n'ont rien à voir. Et pourtant, c'est le mot que j'ai choisi pour la lettre Z.

Dans le cadre du challenge AZ, il s'agit du dernier article, puisque Z est la dernière lettre de l'alphabet, tout comme, ce 30 avril est le dernier jour du mois.

Et si j'ai décidé de choisir Zen, c'est parce que, aujourd'hui, je suis calme et imperturbable.

Je dois avouer, néanmoins, que ce ne fut pas le cas tous les jours. Avec quelques lettres, le choix fut problématique et mon imagination fut mise à rude épreuve.

Pour Z, ce fut dans le calme d'une randonnée en moyenne montagne , jeudi dernier, que le mot zen vint à mon esprit, comme une évidence. En fait, je parlais, à un compagnon de route, de ce challenge AZ, et, comme je lui disais que je n'avais encore rien trouvé pour la lettre X, il me demanda, tout d'un coup, ce que je choisirai pour la lettre Z; j'ai d'abord répondu que je n'en savais fichtre rien, et puis, en repensant à quelques moments de méditation silencieuse que j'avais passés seul avant qu'il me rejoigne sur le chemin, j'ai aussitôt fait l'association avec le mot zen, tout fier de moi d'avoir trouvé un bon mot.

Quant à la relation de ce mot avec la généalogie, c'est moi qui l'impose (euh, je sais, je suis plutôt directif). Oui, car aujourd'hui, je suis zen et, en même temps, content d'être parvenu à écrire un article chaque jour, depuis le 1er avril (vous voyez bien qu'il ne s'agissait pas d'un poisson d'avril), avec un thème unique : la généalogie.

Merci à Sophie Boudarel de nous avoir invité à cette aventure que fut ce challenge AZ.
Fanch

lundi 29 avril 2013

Y comme ... Yves, Yvon

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'Issu du germanique iv, l'if, que l'on retrouve dans le breton ivo, Yves évoque l'archer du haut Moyen Âge, dont l'arme redoutable était faite de ce bois résistant et flexible. 
 
Sous différentes graphies, Yves se rencontre souvent dès le Xe siècle, en particulier dans l'armée de Guillaume le Conquérant débarquée en Grande-Bretagne en 1066. Peut-être trop étroitement associé à une spécialité, il disparut ensuite de l'usage dans la plupart des pays où il s'était diffusé et se réfugia presque exclusivement en Bretagne où la popularité de saint Yves lui assura une longue carrière. 


C'est au début du XXe siècle qu'il commença à se répandre en France (il demeure très rare dans tous les autres pays) et, de 1930 à 1970, il y rencontra un grand succès qui lui assura un statut de prénom classique. Depuis, la faveur qu'il a connue est retombée, mais il est fort probable qu'il la retrouvera un jour ou l'autre. Saint Yves de Kermartin (1253-1303), né à Tréguier (Côte d'Armor), fut ordonné prêtre et nommé juge ecclésiastique au tribunal de Rennes en 1280. Il y fit montre d'une honnêteté et d'une charité exemplaires. Son sens de la justice et son attention aux humbles devinrent pour ses contemporains une source d'émerveillement. 

Dès après sa mort, on vint prier sur sa tombe. Un tercet latin, devenu célèbre, résume sa vie : sanctus Ivo erat Brito, advocatus et non latro, res miranda populo. Ceci signifie : " Saint Yves était breton, avocat et pourtant pas voleur, chose incroyable pour le peuple ! " Yves est aujourd'hui le saint patron de tous les avocats français.' Source : famili.fr

Dans mon arbre généalogique, il y a 262 Yves, 37 Yvon, 9 Yvonne, 1 Yvonnis et 1 Yvonnick.

A demain mardi, pour la lettre Z comme ...
Fanch


samedi 27 avril 2013

X comme ... X

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Comme prévu dans le billet précédent, le X, pour moi, c'est vraiment l'inconnu.

Dans mon arbre généalogique, pas de nom, pas de prénom (non, pas de Xavier) ni de lieu commençant par la lettre X.

Je pourrais m'en sortir avec la série X des archives départementales, sur les enfants abandonnés, mais là encore, concernant ma propre généalogie, je n'ai pas eu besoin d'y faire des recherches.

Je pourrais aussi écrire sur la célèbre série télévision X-Files : Au delà du réel, qui m'a beaucoup plu pendant presque 10 saisons, mais cela n'a rien à voir avec la généalogie !!

Alors, pour la première fois, je passe mon tour .

A lundi prochain, pour la lettre Y, comme ...
Fanch

vendredi 26 avril 2013

W comme ... Wikipédia

Photo Wikipédia Logo
Autant pour certaines lettres, je ne savais pas à l'avance quel mot  je choisirai, autant pour le W, je savais que ce serait Wikipédia.

Cela aurait pu être le Web, ou bien www, mais non, ce sera le nom de l'encyclopédie libre, qualifiée aussi de collaborative.

Ces différentes notions, qui sont à mon avis, fondamentales pour et dans l'existence même de Wikipédia, ne sont peut-être pas très bien comprises par tout le monde.

Pour ce qui concerne le rapport entre la généalogie et Wikipédia, c'est, à mes yeux, le même que celui qui existait, dans le passé, avec le dictionnaire. C'est la bibliothèque du savoir et des connaissances, là où je trouve les réponses à mes interrogations sur les noms, les prénoms, les lieux, les métiers, l'histoire de tout ça, et que sais-je encore !

Bien entendu, Wikipédia ne suffit pas et ne réussit pas toujours à répondre à toutes les questions, d'ailleurs, est-ce son objectif ? Mais en tout cas, c'est, pour moi, l'outil universel qui permet d'avoir une première idée de ce que l'on cherche et d'engager sur une ou plusieurs pistes pour approfondir ses connaissances.

A demain samedi, pour la lettre X, qui je l'espère, ne sera pas une inconnue ...
Fanch  

jeudi 25 avril 2013

V comme ... Village

Photo 1970 - Kerambellec en Sizun


'Le terme de « village » dérive de l'ancien français vil(l)e « ferme, propriété rurale, agglomération » issu du gallo roman VILLA « domaine rural », du latin villa rustica « grand domaine rural » avec un suffixe-age. 

Il est attesté sous la forme latinisée villagium « groupe d'habitations rurales » en latin médiéval dès le XIème siècle, mais rare avant le XIIIème siècle et uniquement d'un emploi savant. Il permet de faire la distinction avec « ville », mot qui pouvait avoir soit le sens de « domaine rural », soit celui de « village, agglomération », avant de prendre celui, unique, d'« agglomération urbaine » qu'on lui connaît aujourd’hui.

En France, dans de nombreuses régions, le terme « village » désigne un hameau, qui peut être limité à trois ou quatre maisons.' Source : Wikipédia

Aujourd'hui, en Finistère, et pour ce que j'en connais, l'intérieur des terres est constellé de ces hameaux qui sont éparpillés, dans la campagne, plus ou moins près du bourg, c'est-à-dire du centre du village ou de la ville. Le bourg, qui n'a pas d'équivalent dans les grandes aglomérations, a son importance, car c'est là qu'il y a la mairie, l'église et la majorité des commerces. C'est en quelle sorte le centre ville. 

Néanmoins, avec la prolifération des centres commerciaux, des parkings géants et du regroupement des habitations dans les cités, c'est quasiment la fin des villages et des hameaux à dimension humaine. D'un autre côté, il semblerait que les citadins rêvent beaucoup de vivre à la campagne.
 
La photo, en illustration, présente la ferme, situé au lieud-dit Kerambellec, où s'est installé mon grand-père, au début des années 1900, et où sont nés mon père et ses 5 frères et 2 sœurs. Cette famille vivait au rez-de-chaussée.

Au 1er étage, il y avait la famille d'un cousin de mon grand-père, avec un garçon et trois filles. 

A demain samedi, avec la lettre W comme ...
Fanch  

mercredi 24 avril 2013

U comme ... Urien, Urvoas


Arriver à la 21ème lettre de l'alphabet, et ne pas trouver un mot en relation avec la généalogie, m'a obligé à aller voir dans mon arbre ce que je pouvais trouver commençant par la lettre U.

Aucun lieu, ni commune, ni paroisse, ni lieu-dit.

Pour les prénoms, seulement deux, qui ne disent rien à mon imagination : Urbain et Ursule (pardon à eux).

Alors, je choisis d'écrire sur les deux seuls patronymes existant dans mon arbre.

Urien : 'nom de personne breton de sens incertain. On y voit le plus souvent une variante de Turio (ou Thurien), nom popularisé par un saint breton né à Lanvollon, berger analphabète devenu évêque de Dol. Cependant, A. Deshayes signale l'existence du nom Urien dans un cartulaire du IXe siècle, ce qui permettrait d'envisager une autre origine'. Source : Généanet.

Urvoas : 'patronyme très courant en Bretagne. C'est un dérivé d'une racine *urb, qui semble signifier "héritier"'. Source Généanet.

A demain jeudi, pour la lettre V comme ...
Fanch

mardi 23 avril 2013

T comme ... Tanguy

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Dans mon arbre généalogique, Tanguy est présent sous les 2 formes de nom et prénom. Comme c'est le cas de bien d'autres prénom/nom - Bernard, Laurent, François, ... - je n'en suis pas trop étonné.

'C'est le plus populaire des noms bretons avec plus de 17.000 naissances ces cent dernières années (pour la plupart dans le Finistère). Il appartient à la catégorie des noms de guerriers, composés en général de deux racines, en l'occurrence tan (= le feu) et ki (= chien). Bref, celui qui est ardent au combat comme un chien. 

Ce n'est cependant pas un guerrier qui a rendu le nom si populaire, mais un abbé : Gurguy, fils du seigneur de Trémazan (Galon), Tanguy tue sa sœur Haude à la suite d'un malentendu, et renonce alors au monde. Après un jeûne de quarante jours dans la forêt de l'Elorn et un séjour au monastère de l'île de Batz, il fonde l'abbaye de Gerbert, au Relecq, et y meurt en 594. Le nom de Tanguy fut donner par saint Paul, évêque de Léon - Tanguy fonda également l'abbaye de la Pointe Saint Mathieu.' Source : Généawiki

Dans mon arbre, il y a 22 personnes ayant Tanguy comme prénom et 18 qui en portent le nom. Personne n'a Tanguy comme nom et prénom !

A demain, pour la lettre U comme ...
Fanch  

lundi 22 avril 2013

S comme ... Statistiques



Dans un article paru récemment dans un journal de généalogie, j'ai lu que généalogie et statistique ne faisait pas bon ménage. J'ai eu beau lire et relire cet article, je n'ai pas très bien compris l'argumentation (qui était plutôt fumeuse), et comme cela m’agaçait, le journal a fini dans la cheminée.

C'est donc sans tenir compte de cet article que je publie le tableau de mes statistiques d'avancement de l'élaboration de mon arbre généalogique. Il est basé sur un exemple trouvé dans le blog 'Entre nous et nos ancêtres". Je dois avouer que depuis que je l'utilise, j'ai le plaisir de voir, en fin de chaque mois, si j'ai avancé ou non dans le nombre d'ancêtres trouvés. Il s'agit là de mes ancêtres directs.

En fait, comme j'aime bien les chiffres, j'ai un autre tableau qui contient les implexes, les ancêtres avec acte de naissance, avec acte de mariage et avec acte de décès. Et puis, on peut s'amuser encore plus, en calculant (en faisant calculer) :
  • l'age moyen entre chaque génération,
  • la durée de vie moyenne, homme, femme et globale
  • le nombre d'enfants par couple 
  • le nombre d'ascendants par lieu
  • le nombre de patronyme, de prénom (c'est le mien qui est Top One !),
  • etc ...  

Et bien entendu, j'ai la même forme de tableau pour tout mon arbre généalogique, c'est-à-dire, avec les frères et soeurs de mes ascendants directs, complété de leurs descendants.

Mais la technologie a ses limites : quand j'ai voulu copier la capture d'écran d'image de ces tableaux, sur cet article de blog, ça ne rentrait pas ou plutôt, c'était illisible. 

A mardi 23 avril, pour la lettre T comme ...
Fanch  

samedi 20 avril 2013

R comme ... Recherche

Durant ma vie professionnelle, si j'ai eu à chercher, c'était uniquement dans l'optique de trouver une solution à un problème, c'est-à-dire, de trouver une ou plusieurs réponses à une question. Ce qui voulait dire à mes yeux, que l'important n'était pas de chercher mais bien de trouver.

Pour les recherches en généalogie que j'ai commencées en septembre 2011, si au début, ma priorité, était de trouver, et donc d'ajouter des branches avec des feuilles à mon arbre, j'ai quand même l'impression, aujourd'hui, que l'important est de chercher.

Étant donné que je suis un amateur, que je travaille pour moi, que j'ai tout mon temps, c'est un bonheur et un plaisir de chercher, même si je ne trouve pas.  D’ailleurs, dire que c’est un travail, n’est pas le bon mot. Il faudrait plutôt dire qu’il s’agit d’un loisirs, d’une occupation, d’un chemin où l’on va, à son pas, sans stress ni de compte à rendre à personne.

Quand je trouve un ancêtre, je suis content : c’est comme si je trouvais une part de moi-même. Et, c’est bien ainsi.

A lundi 22 avril, pour la lettre S comme …
Fanch

vendredi 19 avril 2013

Q comme ... Quimper


Ouest-France - Archives communales et communautaires de Quimper

Il y a 150 ans, 18 heures pour aller de Paris à Quimper !   

'Le 7 septembre 1863, la première locomotive arrive à Quimper, un an après Lorient. Certains y voyaient alors la mort des coutumes locales.

En 1860, la quasi-totalité des régions de France sont desservies par le train. Seule la Bretagne manque à l'appel. Dès 1854, le conseil municipal de Quimper examine au maximum les possibilités pour faire venir le chemin de fer jusqu'à la ville. C'est le 7 septembre 1863 qu'il est enfin là.

Une inauguration bien préparée
Des centaines d'invitations sont envoyées à travers la Bretagne pour vivre le moment qui marquera « la fin de l'isolement ». Le maire Porquier a tout préparé pour que la fête se passe au mieux. Au programme : discours, banquet, concerts au bénéfice des pauvres et feu d'artifice. Le premier magistrat de la ville s'inquiète néanmoins de la célébration à venir, surtout de son coût.
Très vite, il est rassuré par le maire de Lorient, qui avait inauguré dans sa ville le premier train l'année d'avant : « La fête donnée par la ville de Lorient à l'occasion de l'inauguration du chemin de fer, a occasionné une dépense totale de 5 994 francs », selon les documents des archives municipales et communautaires de la ville.Celle de Quimper occasionnera le coût de 4 272 francs, soit environ 10 mois de salaire pour un ouvrier de l'époque, entièrement payés par la ville.

Des avis partagés
L'arrivée du chemin de fer bouleverse la vie quimpéroise. Chacun en est conscient. Les plus aisés se réjouissent des 18 heures de train qui les séparent désormais de « la civilisation parisienne ». Les plus sceptiques, eux, font circuler un faire-part de deuil la veille de l'inauguration : « Vous êtes priés d'assister au convoi funèbre de mœurs, coutumes, langages et traditions de la vieille Bretagne Armorique...La cérémonie aura lieu demain, 7 septembre 1863 à la gare. »

Pourtant, la curiosité prend le dessus, et jamais il n'y aura eu autant de monde à Quimper que ce jour-là. Monseigneur Sergent, évêque de Cornouaille, est sur les lieux pour bénir la machine. Les bâtiments de la gare sont aux couleurs de la France, le préfet du Finistère est présent, accompagné de militaires.

L'arrivée du train est à l'origine de la principale transformation de la ville, selon L'étude de géographie urbaine de Quimper. C'est la cause essentielle de l'augmentation de la population quimpéroise. En 30 ans, le quartier de la gare passe de 65 habitants à 696, ce qui entraîne très vite des travaux d'aménagement. L'urbanisation est fortement touchée. Le secteur économique prend lui aussi son envol.

Le train est un nouveau moyen de faire fonctionner le commerce. De nombreux produits de l'agriculture locale, ainsi que des produits manufacturés, commencent à être expédiés en France et à l'étranger. Le tourisme se développe, surtout après la guerre de 1870. Les visiteurs friands de faïence arrivent, mais aussi les artistes.' Source : www.quimper.maville 

Quimper est une ville chère à mon cœur, car c'est là je suis né, tout comme de nombreux ascendants, du moins, pour ce qui est de ma branche maternelle. 

A samedi 20 avril, pour la lettre R comme ...
Fanch  

P comme ... Particule

'La particule, en onomastique, est une préposition qui précède un nom de famille.

En français, elle peut prendre la forme simple « de », la forme élidée « d' », être accompagnée d'un article « de la », voire contractée « des » ou « du ».

Elle existe également en d'autres langues : néerlandais « van », allemand « von », anglais « of », italien « de », « da » « del », « dal », « della »...
  
La particule nobiliaire : une piste trompeuse. Contrairement à une idée reçue, la particule ne peut en aucun cas être prise comme une marque de noblesse (pas plus d'ailleurs que son absence empêche d'être noble). Et les particules dites « nobiliaires » n'ont jamais été mises que devant les noms de famille qui viennent des seigneuries. En effet, la particule atteste initialement l'origine (rappel d'une filiation, l'origine d'une famille (clan) dans le sens « fils de, fille de », ou une origine géographique) ou la propriété (génitif). Conséquence : certains propriétaires ou roturiers peuvent donc posséder une particule sans pour autant être nobles.' Source : Wikipédia. 

Dans mon arbre généalogique, j'ai un seul patronyme avec une particule. Il s'agit de 'de Kerguelen'. Curieusement, il apparait sous cette forme dans les années 1600, puis disparait.
 
Par contre, ce même nom, mais sans particule, est celui de ma branche maternelle, qui remonte aussi dans les années 1600, et qui semble n'avoir aucun lien avec celui portant une particule.

A vendredi 19 avril, avec la lettre Q comme ...
Fanch

mercredi 17 avril 2013

O comme ... Outils

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Pour la lettre O, je m'étais donné à choisir entre outil et ordinateur. Mais, très rapidement, j'ai choisi le mot outils (au pluriel, car il y en a plusieurs), et non pas l'ordinateur, étant donné que ce dernier n'est, finalement, qu'un des outils dont j'avais besoin.
 
Donc, en tout 1er lieu, un ordinateur. Je me vois, difficilement, travailler uniquement avec des fiches papier, un crayon et une gomme. Je sais bien qu'il en était ainsi, dans le temps, mais, autre temps, autre mœurs. Fixe ou portable, l'important n'est pas là, c'est ce qu'on fait et ce qu'il y dedans qui compte. De toute façon, un ordinateur tout nu ne servirait pas à grand chose : donc, il faut des logiciels.

En 2ème lieu, il faut trouver un logiciel de généalogie, qui convienne à son niveau de connaissance et fournisse les fonctionnalités attendues (saisie, visualisation, contrôle, publication, importation, exportation, impression ...).

A ce jour, avril 2013, j'en suis à mon 2ème logiciel de généalogie depuis le début de mes recherches en généalogie, en septembre 2011. Je ne suis pas sur du tout que ce soit le dernier.

En 3ème lieu et à côté de ce logiciel, je pense qu'il est nécessaire d'utiliser d'autres outils, comme par exemple, un traitement de texte, un tableur, un capteur d'écran, un outil d'impression d'arbre généalogique, etc ... Mais là, c'est à chacun de décider, seul ou avec l'aide d'autres personnes, des outils qui lui sont nécessaires.

En 4ème lieu, les informations du passé ne venant pas toutes seules, il faut aller les chercher. Ce sera, soit via l'internet (avec au choix : site des archives numérisées, Généanet, Google, Gallica, Wikipédia, ...), soit en allant sur place, aux Archives Départementales, ou directement, en mairie, pour photographier des actes de naissance, mariage ou décès. Dans ce cas, ne pas oublier son APN, son smartphone ou sa tablette ainsi que de préparer sa liste des choses à faire.


Néanmoins, il ne faut pas oublier l'objectif principal qui est d'élaborer son arbre généalogique et non pas de devenir un spécialiste des nouvelles technologies.

Quoique ... L'important, à mes yeux, c'est de trouver, sur mon chemin, des individus du passé ayant vécu des événements que je mettrais en mémoire pour les transmettre à ceux qui me suivront.

A jeudi 18 avril, avec la lettre P comme ...
Fanch 

mardi 16 avril 2013

N comme ... Nedelec, Noël

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Nedelec ou Nédélec, est un nom breton qui correspond au français Noël. Source : Généanet.

Dans mon arbre généalogique, il y a 6 personnes qui portent ce nom. Toutes sont des femmes (oui mais bon, je sais que ce n'est pas politiquement correct, mais je ne m'en suis pas occupé, parce que 1. elles ne sont pas mes ascendantes directes, et puis, 2.  je n'ai pas eu pris le temps de chercher leurs parents).

Parmi les 6 femmes, 4 ont vécu dans les années 16xx, et 2 dans les années 19xx. Ces dernières étaient 2 sœurs qui ont épousées 2 frères, mais pas le même jour.

Le prénom Noël est une déformation du latin natalis, la naissance (sous-entendu " du Christ "), qui s'est opérée en vieux français dès le XIe ou XIIe siècle pour désigner le jour de la Nativité. 
 
Ce mot a été adopté comme prénom peu après et on le relève en plusieurs régions de France aux XIIIe et XIVe siècles. Il était souvent attribué aux enfants nés le jour de Noël. Resté depuis d'un usage régulier, il n'a jamais connu une grande diffusion. Bien entendu, il est d'habitude célébré le 25 décembre. Il faut toutefois noter l'existence de deux saints Noël : l'un est un jésuite missionnaire au Canada, tué par des Iroquois ; l'autre est un prêtre victime de la Terreur, décapité à Angers, en 1794.


 Dans mon arbre, il y 6 Noël et 1 Nouel.

Après moult lectures, et même une recherche dans un dictionnaire breton/français et français/breton, je n'ai toujours pas compris la relation entre Noël et Nedelec. 

A mercredi 17 avril, pour la lettre O comme ...
Fanch